Zapata Distrupter : 3ème exposition de Rubico

Zapata Distrupter : 3ème exposition de Rubico

Last Updated on 23 octobre 2019 by admin

Zapata Distrupter : 3ème exposition de Rubico

Zapata Distrupter : 3ème exposition de Rubico

Depuis le 15 septembre, Paris célèbre les 100 ans de  l’assassinat par balle d’Emiliano Zapata, leader charismatique de la révolution mexicaine, avec une exposition créée par le collective RUBICO, “Zapata le perturbateur” présentant plus de 70 œuvres d’artistes visuels importants .

A l’occasion du centenaire de l’assassinat d’Emiliano Zapata, héros de la Révolution mexicaine, le Collectif  “Rubico” et la Fondation “Viva Zapata” présentent “Zapata el disruptor”, une exposition  itinérante en hommage au “Caudillo” qui rassemble plus de 70 pièces dont le poids approximatif de 68 000 kilos.

L’inauguration a eu lieu le 15 septembre à la Galerie Mark Hachem,  place des Vosges (75003), en présence de descendants directs du général Zapata, Marta , July et Manuel Manríque Zapata, petits filles et fils et Ulises Manrique, arrière petit fils.

Cette première partie de l’exposition s’est terminée le 21 septembre.

Cette soirée fut l’occasion de rencontrer le directeur artistique de “Rubico”, Gonzalo Ortiz Blanco,  ainsi que les artistes dont le plasticien Arnaldo Coen qui capture Zapata sur des toiles de Goyard ou Vuitton pour montrer le jeu du recyclage;  Domingo Zapata ou Daniel Lezama.

Lors de la conférence de presse du 16 septembre à l’hôtel Mandarin Oriental, rue St Honoré (75001), Guillermo Ortíz Mayagoitia, ancien ministre, Salvador Rueda , directeur du Musée national d’histoire Château de Chapultepec, Hugo Salgado de la Fondation Viva Zapata  étaient présents aux côtés de Gonzalo Ortiz Blanco, Arnaldo Coen, Domingo Zapata et Daniel Lezama pour présenter l’exposition d’art contemporain et de pop art.

“Zapata” au “Zapata el Disruptor” a refusé d’être un cadavre illustre qui a maintenant cent ans.

L’idée d’aujourd’hui n’est pas de rendre hommage au moment où sa vie a été tronquée, mais de demander comment on se souvient de lui et de conjecturer le poids de son évolution dans ses nouvelles formes plastiques”, a déclaré l’historien Salvador Rueda.

Grâce à l’initiative  du collectif artistique culturel mexicain “Rubico” (qui tire son nom de la rivière Rubicon),  un jumelage culturel s’est installé entre la France et le Mexique.

Un  éventail d’activités dont une exposition d’art et de bijoux, la projection de films, un défilé de mode et une nuit mexicaine, toutes inspirées par Zapata, a été présenté au public.

Parallèlement à l’exposition d’art contemporain, une série d’objets uniques et personnels a été dévoilée  du 17 au 23 septembre à la galerie MR 137, rue du Temple (75003).

On pouvait y trouver la selle de cheval du personnage historique; un costume Charro,; des photographies de Gabriela Zaavedra,; des portraits ainsi que des œuvres de Jesus Lima dont  sa performance de chaussure sur des billets éteints de dix pesos; de Lezama et d’Andrés Amaya.

Le troisième et dernier volet des expositions se déroule actuellement du 4 au 28 octobre à la galerie MR80, rue de Turenne (75003).

“Apôtre ou démon” permet  d’en savoir d’avantage sur Zapata, “le seigneur de guerre du sud”, sur sa personnalité et ce qui l’a conduit à devenir ce personnage mythique et historique.

Après Paris, “Zapata Disruptor” retourne au Mexique pour être présentée  à Cuernavaca par la Fondation Zapata puis à Miami en Floride.


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